Publié le 11 juillet 2021
Au départ, ne vivaient sur terre que des espèces unicellulaires, les procaryotes. Puis les cellules se sont regroupées pour se spécialiser dans des fonctions plus spécifiques et ainsi ont été créés des espèces plus évoluées telles des algues, puis des plantes, enfin des animaux.
Donc les cellules du corps humain comme celles des autres règnes cohabitent ensemble en parfaite harmonie. Et ce, jusqu’à ce que se développent des gènes ou des chocs émotionnels qui viennent perturbés l’ordre établi.
La coopération est donc la base de toute forme de vie à plusieurs êtres vivants.
En effet, dans les entreprises, le mot clé est depuis des décennies, compétition. Notre système éducatif est basé sur cette compétition. Coopération et compétition sont-ils antagonistes ? ou sont-ils simplement des états à superposer et à expérimenter ? Dans un milieu concurrentiel, un management basé sur la productivité, sur la compétition ne va-t-il pas à l’encontre de la coopération ?
De nombreuses équipes souffrent du manque de coopération. Cela génère du mal-être. Les membres d’une équipe qui travaillent de façon isolés ou qui ne peuvent pas parler de leurs difficultés sans être jugés, sont rarement épanouis ou motivés.
La coopération est indéniablement un facteur de bien-être, de cohésion et par conséquent de performance. Certes, la compétition est utile pour faire face à la concurrence. Cependant il semble important d’instaurer une réelle coopération entre ses membres d’une équipe pour être plus efficace.
Elle doit s’apprendre et s’établir progressivement. Pour cela, il est nécessaire de partir d’un constat pour ensuite établir des axes de progrès. Le Jeu Kalliance visite les bases de la coopération d’ans l’équipe en plus d’autres univers liés tels que la communication. Il permet de faire un diagnostic de l’équipe et de son fonctionnement.
